Aux origines BPA

J’ai longtemps fait partie d’une organisation de planning et d’administration des ventes – BPA Business and Planning Administration en anglais – dans un grand groupe international – Gemalto – maintenant Thalès.

Tout d’abord, chargée de clientèle, j’ai progressé avec le temps sur des positions d’ingénieur de planification, manager, responsable d’organisation au niveau monde puis responsable de programme d’amélioration continue – Business Efficiency Manager.

 Création de CPFE

Avant de prendre mon envol et de créer mon entreprise sur 2 axes essentiels à mes yeux : les process – structurer l’activité de l’entreprise, la rendre plus performante en utilisant les enseignements et les outils Lean 6 Sigma, et les langues – que serions nous si nous ne pouvions pas communiquer librement ensemble ?

La valeur ajoutée issue de ces 2 activités est indéniable : quelle société ne souhaite pas s’améliorer ? Quelle personne peut vivre sans comprendre le monde qui nous entoure ?

A l’heure actuelle, plus que la souffrance que j’ai pu rencontré en entreprise face à des attitudes managériales néfastes, je pense que la clé de la progression à la fois dans l’entreprise et pour le collaborateur (voir le responsable, patron, gérant, …,😉) est d’appartenir ou d’être une organisation apprenante, responsable, autonome et motivée.

La transmission des connaissances

Dans ce sens, je suis heureuse de pouvoir transmettre mes connaissances, mon expertise et mes expériences, sous forme de conseil en entreprise et de formation en langues – notamment l’anglais 😉.

Une double compétence issue d’un passé unique, l’anglais n’étant qu’un moyen de communication de base.

L’idée est de se sentir bien, à sa place, de se respecter soi – même, d’offrir ce qu’il y a de meilleur en nous : notre valeur intellectuelle et humaine.

Je me souviens d’un responsable qui – face à la nervosité de l’équipe – moi compris, m’avait demandé : « combien de fois vas-tu faire du sport par semaine ? », sous entendu : si j’étais toi, j’irai pour prendre du recul.

Prendre du recul

Aujourd’hui, je pense qu’il avait raison et qu’il est important de prendre du recul pour être en harmonie avec soi – même pour se sentir bien et mieux comprendre les autres.

Mes pauses jogging – 2 à 3 fois par semaine – sont des moments de prise de recul, source de créativité et d’équilibre.

Conclusion

Si vous avez lu l’ensemble de cet article, que mon état d’esprit vous correspond et que vous souhaitez travailler avec moi sur des projets d’amélioration continue ou pour votre développement à l’international, contactez moi 😉

Le +

Pour en discuter, n’hésitez pas à me contacter…. > Tania Herscovitch – Samat CPFE